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En mars 2020, fauché comme tant d’autres, en plein milieu de leur tournée, THE CELTIC SOCIAL CLUB se jette sur l’écriture et l’enregistrement de nouveaux titres qui deviendront leur quatrième album, DANCING OR DYING ? Conjurant cette longue année « lockdown », toujours profondément ancré dans la tradition des musiques celtes, le groupe s’ouvre à des parfums Beatles, rock héroïque, new-wave.
En juillet 2014, devant les 50 000 spectateurs rassemblés au festival des Vieilles Charrues, THE CELTIC SOCIAL CLUB donne son premier concert. Ce one-shot imaginé et drivé par Manu Masko (batterie), accompagné d’un premier album groovy et prometteur, décide le collectif de baroudeurs à poursuivre l’aventure. Après un disque live acoustique enregistré à New-York, le soutien de France Inter et quelques belles dates européennes, Jean-Pierre Riou (Red Cardell) quitte le groupe, remplacé par le guitariste de rock Goulven Hamel, qui rejoint donc en janvier 2016, Jimmy O’Neill (chant, guitare), Ronan Le Bars (uilleann pipe, low whistle), Pierre Stephan (violon) Richard Puaud (basse) et Mathieu Péquériau (harmonica, washboard).
Tout en continuant son travail en France, le groupe s’envole pour des festivals « world music » en Chine, en Turquie, en Algérie, en Suisse… Il enregistre son deuxième album studio, A NEW KIND OF FREEDOM, affirmant, dés la pochette, son nouveau statut de « band ». Le son s’est resserré, plus électrique, plus pop, plus rock. Faada Freddy y est invité le temps d’un single de Noël. Pendant cette longue tournée, le groupe est parfois rejoint en scène par des musiciens algériens, chinois et nord-américains, s’incluant dans l’ouverture musicale du grand concert planétaire des musiques du monde. Après des concerts dans le nord des États-Unis, le NKOF TOUR culmine en septembre 2016 par une date emblématique à Central Park, pour les vingt-cinq ans de leurs parrains des Vieilles Charrues, à New-York. Europe 1 les découvre à cette occasion et ne les lâchera plus, tout comme le magazine Rolling Stone… Frontman du groupe depuis sa création, l’écossais Jimme O’Neill (The Silencers) est remercié et remplacé un temps par Martin Kelly, autre chanteur de Glasgow installé, lui, à Berlin.
Dan Donnelly, chanteur et guitariste irlandais de Belfast, installé à New-york, puis à Newcastle, rejoint le groupe en cours d’écriture de leur troisième album, FROM BABYLON TO AVALON. Autour de son timbre d’exception, le groupe, enfin stabilisé, assume pleinement son ouverture pop-rock et son attachement à un songwriting pointilleux. Les Futureheads les rejoigne aux chœurs sur une relecture poignante du classique « Black is the color ». Alors que le groupe tourne en France, Belgique, Espagne et Tchéquie, le single « Remember Joe Strummer » s’invite sur les ondes de la BBC. Adoubé par l’emblématique journaliste Janice Long et la Joe Strummer Foundation, THE CELTIC SOCIAL CLUB se lance à l’assaut du Royaume-Uni, avec quelques dates en Écosse, dans le nord de l’Angleterre, au mythique « 100 Club » de Londres et au festival Beautiful Days. L’aventure est saluée d’une pleine page dans Paris Match… Un accueil britannique plus qu’enthousiaste qui provoque la sortie de l’album, en septembre 2019, sur le label Londonien Kitchen Disco Records, dans une « UK version » augmentée.
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